Le Réseau Thématique French Tech FinTech a le plaisir de vous inviter à la 9ème étape du "FinTech Tour 2018-2019" le 6 décembre prochain à l'Espace French Tech de Montpellier
Désigne une ville utilisant les technologies de l'information et de la communication (TIC) pour « améliorer » la qualité des services urbains ou encore réduire ses coûts.
Une ville intelligente est une zone urbaine qui utilise différents capteurs de collecte de données électroniques pour fournir des informations permettant de gérer efficacement les ressources et les actifs. Cela comprend les données collectées auprès des citoyens, des dispositifs mécaniques, des actifs, traitées et analysées pour surveiller et gérer les systèmes de circulation et de transport, les centrales électriques, les réseaux d'approvisionnement en eau, la gestion des déchets, les systèmes d'information, les écoles, les bibliothèques et les hôpitaux.
Le concept de ville intelligente intègre les technologies de l'information et de la communication (TIC) et divers dispositifs physiques connectés au réseau (l'Internet des objets ou IoT) pour optimiser l'efficacité des opérations et des services urbains et se connecter aux citoyens.
La technologie des villes intelligentes permet aux représentants municipaux d'interagir directement avec les infrastructures communautaires et urbaines et de surveiller la ville et son évolution. Les technologies de l'information et de la communication (TIC) sont utilisées pour améliorer la qualité, la performance et l'interactivité des services urbains, réduire les coûts et la consommation de ressources et accroître les contacts entre les citoyens et le gouvernement.
Les fonctions des villes intelligentes sont développées pour gérer les flux urbains et permettre des réponses en temps réel. Une ville intelligente est donc plus préparée à répondre aux défis qu’une ville qui entretient une relation seulement « transactionnelle » avec ses citoyens. Pourtant, le terme lui-même reste peu clair et est ouvert à de nombreuses interprétations.
D'autres termes ont été utilisés pour des concepts similaires : cyberville, ville numérique, communautés électroniques, systèmes d'information.
Les villes intelligentes se sont développés pour répondre à des changements technologiques, économiques et environnementaux majeurs, notamment le changement climatique, la restructuration économique, le commerce de détail et le divertissement en ligne, le vieillissement de la population, la croissance démographique urbaine et les pressions sur les finances publiques. L'Union européenne (UE) a consacré des efforts constants à l'élaboration d'une stratégie pour parvenir à une croissance urbaine « intelligente » pour ses villes-régions métropolitaines. L'UE a élaboré une série de programmes dans le cadre du « programme numérique européen ». En 2010, elle a mis l'accent sur le renforcement de l'innovation et des investissements dans les services TIC pour améliorer les services publics et la qualité de vie. Le marché mondial des services urbains intelligents s'élèvera à 400 milliards de dollars par an d'ici 2020. Des exemples de technologies et de programmes Smart City ont été mis en œuvre à Dubaï, Milton Keynes, Southampton, Amsterdam, Barcelone, Madrid, Stockholm, en Chine et New York.
C'est un réseau de distribution d'électricité qui favorise la circulation d’information entre les fournisseurs et les consommateurs afin d’ajuster le flux d’électricité en temps réel et permettre une gestion plus efficace du réseau électrique.
Ils utilisent des technologies informatiques pour optimiser la production, la distribution, la consommation, et éventuellement le stockage de l'énergie afin de mieux coordonner l'ensemble des mailles du réseau électrique, du producteur au consommateur final1. Il améliore l'efficacité énergétique de l'ensemble en minimisant les pertes en ligne et en optimisant le rendement des moyens de production utilisés, en rapport avec la consommation instantanée.
Les technologies informatiques, associées à des dispositifs de stockage d'énergie et éventuellement d'économies d'énergie, permettent notamment de lisser et tamponner les pointes de production et de consommation, en diminuant les capacités de production en pointe qui sont les plus coûteuses, avec pour effet d'accroître la sécurité du réseau et d'en réduire le coût.
Le réseau électrique "intelligent" est aussi présenté comme un moyen concourant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à la lutte contre le réchauffement climatique. C'est l'une des composantes de la notion de ville intelligente (en anglais, smart city).
S'il est associé à un système « distribué » de très nombreuses micro-centrales, le réseau intelligent est désigné comme l'un des cinq piliers de la « Troisième révolution industrielle » proposée et promue, notamment par Jeremy Rifkin2. Mais dans l'immédiat, le développement est progressif et l’adaptation des infrastructures peu développée. En définitive, le développement des smart grids relève davantage d’une évolution dans l’optimisation des réseaux et d'un affichage marketing plutôt que d’une révolution technologique3.
C'est l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique.
Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'Internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs du monde réel avec le réseau Internet.
Considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisé Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social, l'Internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du quantified self.
L'Internet des objets est en partie responsable d'un accroissement exponentiel du volume de données généré sur le réseau, à l'origine du big data (ou mégadonnées en français).
C'est une technologie de stockage et de transmission d'informations sans organe de contrôle. Techniquement, il s'agit d'une base de données distribuée dont les informations envoyées par les utilisateurs et les liens internes à la base sont vérifiés et groupés à intervalles de temps réguliers en blocs, l'ensemble étant sécurisé par cryptographie, et formant ainsi une chaîne3.
Par extension, une chaîne de blocs est une base de données distribuée qui gère une liste d'enregistrements protégés contre la falsification ou la modification par les nœuds de stockage. Une blockchain est donc un registre distribué et sécurisé de toutes les transactions effectuées depuis le démarrage du système réparti.
C'est une donnée numérique dont l'accès et l'usage sont laissés libres aux usagers. Elle peut être d'origine publique ou privée, produite notamment par une collectivité, un service public (éventuellement délégué) ou une entreprise. Elle est diffusée de manière structurée selon une méthode et une licence ouverte garantissant son libre accès et sa réutilisation par tous, sans restriction technique, juridique ou financière.
L'ouverture des données (open data) est à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables.
Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général.
Au Sommet du G8 2013, les chefs d'État du G8 ont signé une « Charte du G8 pour l'ouverture des données publiques »1. En Europe et dans certains pays, des directives et lois imposent aux collectivités de publier certaines données publiques sous forme numérique. En mai 2016, après deux jours de réunion à Bruxelles du Conseil sur la compétitivité (Competitiveness Council ou COMPET mis en place par la Commission européenne et qui rassemble les ministres européens chargés des sciences, de la recherche, de l'innovation, du commerce et de l'industrie), Carlos Moedas, Commissaire européen à la recherche, à l'innovation et à la science et les dirigeants européens ont unanimement appelé à un accès ouvert « immédiat » à tous les articles scientifiques dès 20202.
Le Pass French Tech est un programme national d’accompagnement lancé en 2014 à destination des entreprises en hyper-croissance, pépites de la French Tech.
Les acteurs majeurs du soutien au développement des entreprises - La French Tech, Bpifrance, DGE, Business France, Coface, Inpi, AFPC et AFIC – se mobilisent et se coordonnent avec les 13 Métropoles French Tech pour offrir de manière unique, prioritaire et accélérée des services premiums spécifiques aux problématiques d’hyper-croissance de ces entreprises.
Les équipes du Programme Pass French Tech s’engagent à assurer une haute qualité de services à ces entreprises en se mobilisant et offrant un suivi privilégié pour permettre à cette communauté d’entreprises d’excellence de rayonner à travers le monde.
Cinq leviers composent cette offre de services : le financement, l’international, l’innovation, le business development et la visibilité.
La 1ère promotion 2015 a rassemblé 48 entreprises en hyper-croissance issues du secteur du Numérique.
La 2ème promotion 2016 a rassemblé 66 entreprises issues des secteurs du Numérique, de l’Industrie et de la Santé (à titre d’expérimentation).
La 3ème promotion 2017 a rassemblé 87 entreprises, issues des secteurs du Numérique, de l’Industrie et de la Santé.
La 4ème promotion 2018 est en cours et rassemble à ce jour 95 entreprises.
Le Pass French Tech Montpellier, une marque d'excellence identifiant les meilleurs champions de la croissance.
# Accroître votre visibilité nationale et internationale,
# Bénéficier des services des grands acteurs publics d'aide au développement sans avoir à en faire la demande,
# Effectuer toutes les démarches administratives de manière simplifiée grâce à un dossier unique et rapide à compléter,
# Bâtir une feuille de route sur-mesure avec les principaux acteurs du soutien aux entreprises,
# Être identifié comme une entreprise en hyper-croissance et rejoindre une communauté d'entrepreneurs champions.
Montpellier est la 1ère métropole pour le nombre de Pass French Tech après Paris. Plus de 250 labellisations ont été décernées au niveau national depuis 2015, dont 38 sont montpelliéraines. Ces sociétés en hyper croissance sont des graines de champions. Leur chiffre d’affaires croit en moyenne de 134% par an et elles réalisent 44% de leur CA à l’international.
PROMOTION 2018
EVERLIA a reçu le label dans la catégorie "lauréats par croissane de leur chiffre d'affaires"
Le commerce de détail est le maillon final de la chaîne de distribution. Il se distingue ainsi du commerce en gros. L'activité est double :
Achat des produits auprès d'un fournisseur, d'un producteur ou d'un importateur, soit directement ou par l'intermédiaire d'un grossiste.
Revente de la marchandise à l'unité ou par petite quantité à un client dans un magasin, une boutique ou par correspondance à l'aide d'un catalogue ou d'un site internet.
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